mardi 13 mai 2014

Biovallée et Die 26150 : Fête des Jardins ce 1er Juin 2014...



Dimanche 1er juin 2014 : Fête des jardins à Die
« Ouvrons nos Jardins… »
Et toute la journée: Troc de graines et de plants, Marché aux plants,  Stand des associations, Expos…
Jardins familiaux de l’Aube
12h Ouverture de la fête des jardins
12 h Pique-nique partagé (ouvert à toutes et tous) Pensez à prendre vos assiettes, verres et couverts.
14h30-15h30 : Visite des jardins avec les jardinierEs
15h30 : Lecture de paysages 
16h30 : Atelier Compost
17h30 : Goûter partagé et apéro.
AIRE/ARCHER, Trésor de Die
Association et atelier d’insertion, débarras, vente... Tri et Recyclage, économie sociale, Objectif de Réinsertion (TRESOR).
Jardins familiaux de l’Aube
Nom du responsable : Silvère Lerouge
Aire : Adresse du siège : Quartier du Perrier - 26150 Die
Animateur Silvère Lerouge
Site Web : www.aire2i26.com
Archer : Tél. : 04 75 21 01 78 Impasse Alfred Nobel - BP 240
26106 Romans Cedex
Tél : 04 75 02 07 68
Fax : 04 75 05 38 10

Ecologie au Quotidien et Aire-Trampoline
Le Chastel 26150 DIE, Rhône-Alpes, France
Tel : 04 75 21 00 56       

Les Potagers Rares
Jardins Familiaux
Nom du président : Jean-Pierre Galle

Adresse du siège : Les Combes - 26150 Die
Tél. : 04 75 22 06 60

dimanche 11 mai 2014

Rendez vous Milan 2015...

Comment nourrir la planète? La France proposera ses solutions à Milan 2015


Nourrir la planète en produisant "plus et mieux": à l'Exposition universelle de Milan 2015, la France présentera ses solutions dans un pavillon de bois futuriste dévoilé mardi, qui accueillera visiteurs et entreprises.

Nourrir la planète en produisant «plus et mieux»: à l'Exposition universelle de Milan 2015, la France présentera ses solutions dans un pavillon de bois futuriste dévoilé mardi, qui accueillera visiteurs et entreprises.
L'exposition qui aura lieu du 1er mai au 31 octobre 2015 sera pour la première fois consacrée à la sécurité alimentaire.
La France tentera de montrer que, «face à ce problème sérieux, il y a des solutions», notamment l'agroécologie, a déclaré Alain Berger, commissaire général du Pavillon France.
Le pavillon de 2.000 m² et 12 mètres de haut a été conçu comme une immense halle de marché, toute en courbes de bois recouvertes de céréales, de fruits et légumes poussant à la verticale, pour montrer la diversité des paysages et de la production agricole française.
Il devrait attirer un millier de visiteurs internationaux par heure pendant six mois. Pour leur expliquer les problématiques de l'alimentation mondiale, une scénographie composée essentiellement de films et d'images.
La France présentera ainsi ses solutions pour garantir la sécurité alimentaire, dans les domaines économique et scientifique, du développement durable, de l'aide au développement et de la qualité.
Des exemples de «projets concrets» d'entreprises françaises seront montrés au public, notamment «dans l'univers des semences, hors OGM, avec un potentiel de recherche qui permet d'améliorer la productivité», explique M. Berger.
L'un des objectifs sera de faire voir comment «combiner écologie et économie», en «optimisant l'usage du soleil, de l'eau», souligne le commissaire.
Pour promouvoir la gastronomie française, classée au patrimoine mondial de l'Unesco, démonstrations culinaires et dégustations auront lieu au rez-de-chaussée du bâtiment, qui accueillera aussi sur son toit un restaurant de 250 couverts.
Au 1er étage, un espace accueillera entreprises et délégations officielles.
«On a bien l'intention de faire aussi de l'économique et du commercial (...), de renforcer les exportations et la présence française à l'étranger», affirme M. Berger, «même si le problème de fond sur l'alimentation est multilatéral».
La Chine a déjà demandé un partenariat avec le pavillon français et d'autres jumelages auront lieu.
La France disposera aussi d'un espace dans le centre de Milan, entièrement réservé aux entreprises.
Pour M. Berger, les 20 millions d'euros de deniers publics qu'aura coûté le pavillon «ne sont pas un investissement considérable si l'on regarde la puissance du secteur agroalimentaire en France».
Le bâtiment, conçu par l'agence X-Tu, sera fabriqué en bois du Jura par une entreprise du Doubs, avec un objectif de basse consommation d'énergie.
Il sera réutilisé après l'événement, «on ne le jettera pas», promet M. Berger.
L'exposition universelle de Milan devrait pendant ces six mois accueillir 20 millions de visiteurs espèrent les organisateurs.
MCD

samedi 3 mai 2014

Ne laissons pas les OGM envahir nos assiettes.



Haute-Garonne : Bové et Greenpeace fauchent un champ de maïs OGM
Selon les militants, la parcelle de 11 hectares a été plantée à la hâte et “en présence d’un huissier” de graines de MON 810 de la firme américaine Monsanto, selon les militants.
Les militants anti-OGM accompagnés de José Bové ont procédé à l'arrachage de plants de maïs supposés génétiquement modifiés, à quelques kilomètres de Toulouse. Ils entendent ainsi limiter ce qu'ils qualifient de "passage en force" des semenciers qui, malgré l'interdiction, commercialisent ces céréales en France.
Pas d'OGM chez eux ! Usant du principe de précaution, plusieurs dizaines de faucheurs volontaires emmenés par le député européen Europe Ecologie-Les Verts José Bové ont arraché vendredi des plants de maïs transgénique dans un champ de Saubens, à une quinzaine de kilomètres de Toulouse (Haute-Garonne). Des militants de Greenpeace les accompagnaient et n'ont pas manqué de médiatiser l'événement sur les réseaux sociaux.
Les militants avaient identifié une parcelle de 11 hectares située à Saubens, en périphérie de Toulouse, récemment plantée selon eux de graines de MON 810, du maïs génétiquement modifié de la firme américaine Monsanto. Les militants ont arraché les pieds récemment plantés qu'ils ont remplacés par des graines de maïs bio. 
Hubert, qui travaille dans le conseil en électronique industrielle: « Les OGM, c’est la négation de la démocratie. Les laboratoires ne savent pas ce qu’ils font, ils n’en connaissent pas les conséquences et veulent simplement transformer tout ça en argent. Même les Etats-Unis ont reconnu un problème sur la viabilité des OGM. La lutte continue pour nous, même si cette fois-ci, ce sont les semenciers qui se placent dans l’illégalité »
Selon les militants, la parcelle de 11 hectares a été plantée à la hâte et “en présence d’un huissier” de graines de MON 810, du maïs génétiquement modifié de la firme américaine Monsanto, quelques jours avant la parution au journal officiel le 15 mars d’un nouvel arrêté d’interdiction de la culture de MON 810 par le ministère de l’Agriculture.
“Un champ de trouvé, dix de cachés?”
"Les semenciers, Monsanto en tête, essayent de passer en force. C’est pour ça que les faucheurs sont ici aujourd’hui”, a expliqué à la presse le député européen d’Europe Écologie-Les Verts (EELV), José Bové.
Le Conseil d’État, saisi en référé par l’Union française des semenciers et l’Association générale des producteurs de maïs (AGPM) qui contestent cet arrêté, doit rendre sa décision lundi. Mais, font valoir les faucheurs, quelle que soit la décision du Conseil d’Etat, la grande majorité de la population française est opposée à la culture de maïs OGM et l’Assemblée nationale a adopté mi-avril une proposition de loi interdisant la culture de maïs transgénique, qui doit encore être adoptée définitivement.
Entourés de banderoles de Greenpeace sur lesquelles on pouvait lire: “OGM, Contamination en cours” ou “Un champ de trouvé, dix de cachés?”, les faucheurs ont procédé à l’arrachage de plants encore jeunes pour les remplacer par des graines de maïs bio.
Deux champs sous surveillance en Midi-Pyrénées
"On intervient pour mettre en avant le fait que des agriculteurs, malgré la politique gouvernementale et malgré le fait que 80% des Français ne veulent pas du maïs transgénique, sèment quand même des OGM pour passer en force”, a expliqué un faucheur volontaire, Dominique Masset.
La grande majorité de la population française est opposée à la culture de maïs OGM et l'Assemblée nationale a adopté mi-avril une proposition de loi interdisant la culture de maïs transgénique, qui doit encore être adoptée définitivement.
«Le but est de cultiver des OGM alors que personne n'en veut plus, a rappelé José Bové, député européen. Si le gouvernement ne prend pas ses responsabilités, nous les faucheurs feront en sorte que ces champs n'arrivent jamais à la récolte».
Dans un communiqué, Greenpeace demande “au gouvernement la neutralisation de ce champ OGM, ainsi qu’une enquête approfondie sur les autres cultures potentiellement existantes sur le territoire”. Selon les faucheurs, deux parcelles au moins sont actuellement plantées de maïs transgénique, celle de Saubens et une autre en Midi-Pyrénées.
“Les deux champs sont sous surveillance. Si le gouvernement n’agissait pas comme on le veut, les deux parcelles seront neutralisées avant floraison, c’est-à-dire avant qu’elles puissent contaminer les autres champs”, a averti José Bové.
Paul Breynat
« Les Incroyables Comestibles du Diois »
incroyablescomestiblesdiois.blogspot.com